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Echoppe

La voici, la voilà… terminée après plusieurs semaines d’intense cogitation et de non pas moins intenses manipulations – merci Chéri-chéri pour son précieux outillage et son savoir-faire J

 

La pénurie de bois actuelle n’a pas aidé mais aura au moins permis de faire quelques économies puisqu’il a fallu partir de planches de coffrage (solides mais plutôt brutes) à raboter puis poncer.

 

Le plan (très) précis définitif s’est révélé pas si définitif que ça puisque des ajustements ont été apportés au fur et à mesure de la construction – souplesse et adaptation… maîtres-mots d’une vie heureuse.

 

 

La réalisation de toute l’ossature en bois étant finie (encore une fois : merci Chéri-chéri), il était grand temps de s’intéresser à la toile. Grand moment s’il en est, je redoutais un peu cette étape au vu du métrage à réaliser mais finalement, la préparation sur plan était suffisamment étudiée pour ne pas avoir de surprises. Il faut dire que j’étais bien épaulée par ma super machine à coudre électronique spéciale grosse épaisseur (oui ça existe et ça sauve des vies).

 

Au final, cela donne une échoppe sublime – n’ayons pas peur des mots et sachons reconnaître nos talents – d’inspiration médiévale, plutôt bien solide grâce à la table intérieure et à l’encrage possible des cordages de chaque côté, même en essai  chez nous sur notre terrain pas très plat et rocailleux ainsi que du vent permanent.

 

 

Le premier test grandeur nature le 9 juin a été révélateur : j’avais pensé à tout (ça fait peur parfois mais il faut dire que j’avais judicieusement exécuté une répétition générale quatre heures auparavant – tous les artistes font ça non ?!?).

 

Beaucoup de travail donc mais pour un résultat qui me plaît beaucoup et qui, je l’espère, m’accompagnera longtemps dans mes promenades fibresques dans les années à venir.

 

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